À propos

Stéphanie Toussaint, photo

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Stéphanie fait des images et parfois des textes.

Elle est née le 11 avril 1979, à Tours en Indre-et-Loire.

Toute petite, elle aime dessiner et a beaucoup de crayons de couleur mais un peu moins de feutres parce que ça fait des taches. 

Vers 15 ans, elle découvre la photo, grâce à GG qui lui offre son premier Olympus. Elle photographie ses copains, et continuera des années plus tard avec le groupe performatif Punk-Rock-Glam « The Furious Golden Shower » que formeront ses copines. 

À 17 ans elle choisit un bac art-plastique et l’obtient avec de relatives bonnes notes.
(un 20 en art-P !)

Admise à l’Institut d’Art Visuel d’Orléans, elle découvre l’art plus en profondeur, son histoire et sa pratique en s’inscrivant aux ateliers gravure, photo et vidéo. Immergée par l’ennui de cette ville atypique, elle obtient son DNSEP avec les félicitations du jury. 

Arrivée à Paris pour retrouver les copains, elle devient assistante photo dans divers studios, et se concentre sur la photographie pour l’explorer à fond.

En 2008, voulant exprimer l’impossibilité d’avancer, elle commence la série « The Watcher », qui se terminera 11 ans plus tard.

En 2012, après un petit tour à Bruxelles, Stéphanie rentre chez Artcurial comme photographe d’objets d’art et fonde la même année la maison d’édition On Your Slate, qui publie des textes poétiques à la croisée du théâtre, de la littérature et de l’art contemporain.

En 2017, dans sa salle de bain, elle commence la série des Sans-titre pour l’instant, un questionnement autour de la production et de la représentation à l’heure où tout est instagrammé. Série considérée comme inachevée, pour l’instant. 

En 2020, elle gagne le prix de la Biennale de Paris sous un pseudo potache.

En 2022, Stéphanie arrête On Your Slate, expérimente l’édition de petits jeux vidéo et s’intéresse en 2024, à l’IA, à ses possibles et à son vertige.